Ma Nissan 350Z

Selon moi, la Nissan 350Z est vraiment la bagnole la plus sympa de NFSU2.

1) Le bruit de son V6-3,5L est génial.
2) Quand on mise tout sur ses performances de façon intelligente, tout au long du jeu, elle s'avère aussi performante que la Mustang en drag, aussi performante en street-X que la MX-5, aussi performante en drift que les meilleures quatre-roues-motrices, etc.
3) Elle est assez délicate à maîtriser car elle part facilement en tête-à-queue (au démarrage et à basse vitesse), mais une fois qu'on la gère bien, les dérapages contrôlés deviennent un vrai régal qui, de surcroît, font très vite monter la jauge d'oxyde nitreux.
4) Elle est agréable à piloter car ses suspensions permettent une certaine souplesse et un bon amortissement (sans nuire aux qualités routières) quelle que soit la qualité de la chaussée.

Mon unique déception, concernant la présence de Nissan au sein de l'écurie NFSU2, est qu'il n'y ait pas eu de Nissan 300ZX.
La 300ZX est, à mon sens, la plus belle des Nissan, et une version 2 portes bi-turbo aurait vraiment été la bienvenue.

Une 350Z dépourvue de turbocompresseur pour aller au bout du jeu, c'est exactement ce que je suis en train de tenter.
Dès qu'elle a été disponible chez le concessionnaire, je m'en suis emparé et je l'ai tunée au maximum... mais sans turbo !

Pourquoi "sans turbo" ?
Parce que le turbo engendre une irrégularité dans le registre de montée en régime et de puissance.
Sans le turbo, la montée en régime est nettement plus régulière et, du coup, lors des phases d'accélération à basse vitesse la voiture est beaucoup plus facile et agréable à contrôler.

Maintenant, ce qu'il faut arriver à faire, c'est parvenir au bout du jeu. Bien que je sois en difficulté "facile", je pense qu'il ne sera pas évident de compenser le déficit de puissance, surtout lors d'épreuves telles que les drags qui requièrent plus de chevaux sous le capot que de qualités de pilotage.
J'en suis au niveau où Coal Harbor Ouest reste encore à rendre accessible. Nul doute que plus je vais m'en approcher et plus difficiles seront les courses.
C'est un défi intéressant à relever, je trouve.

J'ai presque fini, au volant de la Nissan 350Z dépourvue de turbocompresseur.
Encore deux CCU et l'ultime "course" contre Caleb pour que je conclue.
Je verrai cela demain.
Pour l'instant, ce sont les drag qui m'ont le plus posé de problèmes. Alors que je n'avais pas encore débloqué Coal Harbor West, trois épreuves de drag ont nécessité de ma part de nombreux essais et beaucoup d'agressivité. L'heure n'était pas à la compétition loyale. J'ai été contraint de tamponner les autres concurrents ou (et) de leur barrer le passage.
Par contre, aucune des autres catégories d'épreuves ne m'a posé le moindre problème. J'ai gagné systématiquement 300 points par course.
Cela dit, une fois Coal Harbor West débloqué, ma bagnole a pu profiter avantageusement des dernières modifications gratuites, lesquelles se sont révélées très intéressantes pour la suite du jeu. Toutes les courses drag de ce dernier niveau m'ont paru d'une incroyable facilité.
Pour les courses en ville, j'ai obtenu de meilleurs résultats que lors de mes précédents NFSU2. Les autres fois, à ce stade de la compétition ma voiture était boostée au maximum, ce qui rendait la conduite moins facile.
Les "courses" dont les balises se trouvent à Coal Harbor West sont des épreuves costaudes et longues. Elles requièrent de l'attention et de la concentration. Avec ma 350Z dépourvue de turbo, les dérapages, les sauts et les reprises de vitesse sont beaucoup plus fluides. Dans ces conditions, la voiture est beaucoup plus facile à maîtriser.

« oh, mec ! On aurait dit que tu ne faisais plus qu'un avec la route ! »

C'est en ces termes que, à l'issue d'une poursuite effectuée contre moi, une jeune femme vient humblement et admirativement de reconnaître sa défaite. Son commentaire me permet de me la raconter un peu.

J'ai conclu ce NFSU2 sans aucune difficulté. Les trois CCU auxquelles il m'a fallu participer ne furent qu'une formalité.
Quant à la course contre Caleb, je l'ai conclue avec plus d'une minute et demi d'avance sur lui.
Au cours de ce run de 25 kms, ma voiture est pourtant entrée deux fois en collision avec des voitures I.A.
Au bout de moins d'une minute de course, le petit triangle marron figurant la voiture de Caleb sur le plan en médaillon n'apparaissait déjà plus.
Cet abruti conduit une Pontiac GTO. Certes, c'est une bonne bagnole apte à atteindre des vitesses de pointe impressionnantes, mais elle n'a pas l'agilité de ma Nissan 350Z.
Ma caisse a beau ne pas avoir de turbo (c'est intentionnel), elle n'en reste pas moins ultra-performante.
Son V6 pousse très fort de 4000 t/m à 8000 t/m, et ce avec une régularité qui permet une excellente maîtrise des trajectoires.
À ses commandes, j'ai frôlé plusieurs fois les 320 km/h, mais je suis sûr que, en se mettant dans les conditions de course idéales, il est possible d'atteindre, voire dépasser, les 330 km/h.

J'en profite pour rendre hommage au tout puissant oxyde nitreux sans lequel je n'aurais jamais pu gagner aucune épreuve de drag.