La Ponctuation
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La Ponctuation
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Sophie Clift- Président
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Date d'inscription : 03/11/2014
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Re: La Ponctuation
Les points de suspension (SUS)
Les points de suspension (qu'on peut appeler le SUS pour ne pas perdre de temps) sont appelés parfois le trois points.
Le sus met fin à une énumération ou peut marquer (par l'écrit) un temps de pause dans un dialogue (ou un monologue) ou dans une pensée.
Il peut être précédé d'un point d'exclamation (CLAM) ou d'un point d'interrogation (ROG).
Les points de suspension (qu'on peut appeler le SUS pour ne pas perdre de temps) sont appelés parfois le trois points.
Le sus met fin à une énumération ou peut marquer (par l'écrit) un temps de pause dans un dialogue (ou un monologue) ou dans une pensée.
Il peut être précédé d'un point d'exclamation (CLAM) ou d'un point d'interrogation (ROG).
Sophie Clift- Président
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Re: La Ponctuation
La Virgule
Elle est souvent absente ou employée à mauvais escient. Son rôle est essentiel. Ajouter ou supprimer une virgule peut donner un sens radicalement différent à une même phrase.
Pourtant, on constate que, dans le milieu scolaire, et même dans les établissements d'enseignement supérieur, la virgule est de moins en moins bien maîtrisée.
En typographie, la virgule est un signe de ponctuation permettant à l'origine, d'insérer une respiration dans la phrase. Comme toutes les autres ponctuations, elle a gagné dans la langue écrite une multitude de rôles que la langue orale ne manifesterait pas simplement par la pause.
Elle structure, par exemple, la construction de la phrase, que ce soit en liant (rôle connecteur) ou en séparant les groupes syntaxiques (dans le cas d'incises). Par exemple, dans une énumération, la virgule sépare les termes énumérés, sauf en français pour le dernier, qui n'est pas précédé d'une virgule quand il est précédé par une conjonction (par exemple et). L'abréviation etc. – et cætera (« et tout le reste ») – est nécessairement précédée d'une virgule. On le voit, ces règles appartiennent autant à la notation de la langue orale qu'à la syntaxe et à l'orthotypographie.
Elle est souvent absente ou employée à mauvais escient. Son rôle est essentiel. Ajouter ou supprimer une virgule peut donner un sens radicalement différent à une même phrase.
Pourtant, on constate que, dans le milieu scolaire, et même dans les établissements d'enseignement supérieur, la virgule est de moins en moins bien maîtrisée.
En typographie, la virgule est un signe de ponctuation permettant à l'origine, d'insérer une respiration dans la phrase. Comme toutes les autres ponctuations, elle a gagné dans la langue écrite une multitude de rôles que la langue orale ne manifesterait pas simplement par la pause.
Elle structure, par exemple, la construction de la phrase, que ce soit en liant (rôle connecteur) ou en séparant les groupes syntaxiques (dans le cas d'incises). Par exemple, dans une énumération, la virgule sépare les termes énumérés, sauf en français pour le dernier, qui n'est pas précédé d'une virgule quand il est précédé par une conjonction (par exemple et). L'abréviation etc. – et cætera (« et tout le reste ») – est nécessairement précédée d'une virgule. On le voit, ces règles appartiennent autant à la notation de la langue orale qu'à la syntaxe et à l'orthotypographie.
Sophie Clift- Président
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Re: La Ponctuation
Le point-virgule
Moins restrictif que le point et moins fréquent que la virgule, il n'en a pas moins d'importance. Souvent galvaudé, son usage est de plus en plus souvent incertain pour de plus en plus de monde.
Le point-virgule a été inventé comme signe typographique par l'imprimeur italien Aldus Manutius pour deux usages :
- marquer qu'un mot est l'antonyme d'un autre ;
- séparer des propositions indépendantes dans la phrase.
Le signe est cependant bien plus ancien puisqu'on le rencontre déjà dans les manuscrits médiévaux comme signe d'abréviation, pour la syllabe et, notamment. Ainsi, deb; se lisait debet.
Remarque. Le point-virgule est parfois aussi appelé point et virgule.
On reconnaît tout de suite un homme de jugement à l'usage qu'il fait du point et virgule. (Henry de Montherlant, Carnets).
Un signe menacé
En français comme en anglais, la tendance est à l'emploi de phrases courtes, et donc à l'emploi exclusif du point et de la virgule. En langue anglaise, c'est le livre Eats, Shoots & Leaves qui dénonce cet abandon. En français, Tata Prioul en parle dans son livre La Ponctuation ou l'art d'accommoder les textes.
Le canular du premier avril 2008 annonçant que l'usage du point-virgule dans les documents administratifs allait être obligatoire afin de sauvegarder ce signe a été assez remarqué.
Les francophones accusent d'ailleurs l'influence de la langue anglaise d'être responsable de cet abandon en français.
Moins restrictif que le point et moins fréquent que la virgule, il n'en a pas moins d'importance. Souvent galvaudé, son usage est de plus en plus souvent incertain pour de plus en plus de monde.
Le point-virgule a été inventé comme signe typographique par l'imprimeur italien Aldus Manutius pour deux usages :
- marquer qu'un mot est l'antonyme d'un autre ;
- séparer des propositions indépendantes dans la phrase.
Le signe est cependant bien plus ancien puisqu'on le rencontre déjà dans les manuscrits médiévaux comme signe d'abréviation, pour la syllabe et, notamment. Ainsi, deb; se lisait debet.
Remarque. Le point-virgule est parfois aussi appelé point et virgule.
On reconnaît tout de suite un homme de jugement à l'usage qu'il fait du point et virgule. (Henry de Montherlant, Carnets).
Un signe menacé
En français comme en anglais, la tendance est à l'emploi de phrases courtes, et donc à l'emploi exclusif du point et de la virgule. En langue anglaise, c'est le livre Eats, Shoots & Leaves qui dénonce cet abandon. En français, Tata Prioul en parle dans son livre La Ponctuation ou l'art d'accommoder les textes.
Le canular du premier avril 2008 annonçant que l'usage du point-virgule dans les documents administratifs allait être obligatoire afin de sauvegarder ce signe a été assez remarqué.
Les francophones accusent d'ailleurs l'influence de la langue anglaise d'être responsable de cet abandon en français.
Sophie Clift- Président
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Re: La Ponctuation
Le Point
Il marque la fin d'une phrase, tout simplement.
Il marque la fin d'une phrase, tout simplement.
Sophie Clift- Président
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Re: La Ponctuation
Le point d'exclamation (CLAM)
Il marque l'effet de surprise ou l'invective.
Le point d'exclamation, qui fut aussi appelé point d'admiration, est le signe de ponctuation qui se met à la fin d'une phrase exclamative, à la place du point.
Usage
La phrase que termine un point d'exclamation peut soit être une véritable exclamation (« Wouah ! »), soit être un ordre (« Stop ! »), ou encore souligner un fait remarquable (« Cet animal est vraiment gigantesque ! »). Une phrase exclamative ou une interjection se termine toujours par un point d'exclamation.
En français, il est d'usage de placer une espace (ou plus exactement une espace fine) avant le point d'exclamation. Ce n'est pas le cas dans toutes les langues, comme, par exemple, en anglais où le point d'exclamation se place directement après la dernière lettre de la phrase. Le point d'exclamation est suivi d'une espace.
Origines
Ce symbole viendrait de l'exclamation de joie « io » en latin, qui a été abrégée d'un i au-dessus d'un o.
Il marque l'effet de surprise ou l'invective.
Le point d'exclamation, qui fut aussi appelé point d'admiration, est le signe de ponctuation qui se met à la fin d'une phrase exclamative, à la place du point.
Usage
La phrase que termine un point d'exclamation peut soit être une véritable exclamation (« Wouah ! »), soit être un ordre (« Stop ! »), ou encore souligner un fait remarquable (« Cet animal est vraiment gigantesque ! »). Une phrase exclamative ou une interjection se termine toujours par un point d'exclamation.
En français, il est d'usage de placer une espace (ou plus exactement une espace fine) avant le point d'exclamation. Ce n'est pas le cas dans toutes les langues, comme, par exemple, en anglais où le point d'exclamation se place directement après la dernière lettre de la phrase. Le point d'exclamation est suivi d'une espace.
Origines
Ce symbole viendrait de l'exclamation de joie « io » en latin, qui a été abrégée d'un i au-dessus d'un o.
Dernière édition par Winona Madison le Dim 16 Aoû - 19:10, édité 1 fois
Sophie Clift- Président
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Re: La Ponctuation
Le point d'interrogation (ROG)
Origine
Ce symbole viendrait de l'abréviation qo du latin quaestio qui signifie « question ». Le « q » minuscule était écrit au-dessus du « o » minuscule et se transforma progressivement en point d'interrogation moderne. Selon une autre hypothèse, le signe trouverait son origine au IXe siècle, sous la forme d'un point suivi d'une sorte de tilde. Le point marquait simplement la fin de la phrase, tandis que le « tilde » représentait l'intonation de la question à l'oral.
Usage
En français, il est d'usage de placer une espace fine insécable (en typographie, le nom commun espace est féminin ; ce qui est également le cas lorsqu'on parle de la touche d'espace du clavier de l'ordinateur ; mais peu de gens le savent ; pourtant, les dictionnaires sont très clairs, sur la question) avant le point d'interrogation, comme pour tout signe composé de deux parties superposées. Ce n'est pas le cas dans toutes les langues, comme en anglais, en italien ou le français québécois où le point d'interrogation se place, sans espace, directement après la dernière lettre de la phrase.
Comme le point d'interrogation finit une phrase, il est suivi d'une majuscule. Néanmoins il arrive qu'on emploie le point d'interrogation sans finir une phrase. À l'oral, ce point d'interrogation correspond à une pause plus courte. Dans ce cas, le point d'interrogation a valeur de virgule, et est suivi d'une minuscule.
Exemple : « De quelle couleur était-il ? bleu ? rouge ? vert ? ».
Il en va de même lorsque la phrase interrogative est suivie d'une incise, quelle que soit la longueur de celle-ci (« Pourrais-je avoir à boire ? dit-il. Que veux-tu ? répondit la maman qui était en train de parer le gigot. »).
Une virgule interrogative a été proposée, mais il s'agit d'un exemple parmi d'autres de signe non retenu.
Origine
Ce symbole viendrait de l'abréviation qo du latin quaestio qui signifie « question ». Le « q » minuscule était écrit au-dessus du « o » minuscule et se transforma progressivement en point d'interrogation moderne. Selon une autre hypothèse, le signe trouverait son origine au IXe siècle, sous la forme d'un point suivi d'une sorte de tilde. Le point marquait simplement la fin de la phrase, tandis que le « tilde » représentait l'intonation de la question à l'oral.
Usage
En français, il est d'usage de placer une espace fine insécable (en typographie, le nom commun espace est féminin ; ce qui est également le cas lorsqu'on parle de la touche d'espace du clavier de l'ordinateur ; mais peu de gens le savent ; pourtant, les dictionnaires sont très clairs, sur la question) avant le point d'interrogation, comme pour tout signe composé de deux parties superposées. Ce n'est pas le cas dans toutes les langues, comme en anglais, en italien ou le français québécois où le point d'interrogation se place, sans espace, directement après la dernière lettre de la phrase.
Comme le point d'interrogation finit une phrase, il est suivi d'une majuscule. Néanmoins il arrive qu'on emploie le point d'interrogation sans finir une phrase. À l'oral, ce point d'interrogation correspond à une pause plus courte. Dans ce cas, le point d'interrogation a valeur de virgule, et est suivi d'une minuscule.
Exemple : « De quelle couleur était-il ? bleu ? rouge ? vert ? ».
Il en va de même lorsque la phrase interrogative est suivie d'une incise, quelle que soit la longueur de celle-ci (« Pourrais-je avoir à boire ? dit-il. Que veux-tu ? répondit la maman qui était en train de parer le gigot. »).
Une virgule interrogative a été proposée, mais il s'agit d'un exemple parmi d'autres de signe non retenu.
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Re: La Ponctuation
Le deux-points
Le deux-points ou double point, est un signe de ponctuation représenté par deux points, l’un au-dessus de l’autre. « Deux-points » est un mot invariable.
Grammaire
Du point de vue de la syntaxe, le deux-points s’apparente au point-virgule, et sépare deux membres de phrase souvent constitués de propositions indépendantes.
Le deux-points peut introduire diverses catégories de segments.
Une citation, dans le discours rapporté direct :
Louis XIV aurait dit : « L’État, c’est moi ! »
Une explication, une cause :
Je reste chez moi : il pleut et je suis fatigué.
Une conséquence, une synthèse :
Il pleut et je suis fatigué : je reste chez moi.
Une énumération :
Il pratique de nombreuses activités sportives : natation, planche à voile, course, tennis, etc.
On ne met pas de majuscule après un deux-points (sauf s’il introduit une citation comme dans l’exemple ci-dessus).
Typographie
En typographie française, le deux-points est précédé d’une[1] espace insécable (ou, parfois, d’une espace fine insécable ou quart de cadratin), et suivi d’une espace sécable[2],[3]. Plus généralement, la typographie française exige une espace insécable avant et une espace sécable après tout signe composé de deux éléments l’un au-dessus de l’autre. De nombreuses autres ne mettent aucune espace avant ces signes.
Exemple : une espace avant et après le deux-points.
En pratique, en particulier sur Internet, cette règle est loin d’être respectée, car l’espace insécable n’est pas accessible en une seule touche sur un clavier d’ordinateur (combinaison de deux ou trois touches selon le système d’exploitation). De nombreux rédacteurs choisissent donc de ne pas placer d’espace avant le deux-points, pour ne pas placer d’espace sécable qui risquerait de placer le deux-points en tête d’une ligne[4]. Toutefois certains logiciels d’écriture avancés corrigent cette faute pour le lecteur. Microsoft Word (versions récentes) par exemple remplace automatiquement un deux-points non précédé d’une espace ou un deux-points précédé d’une espace sécable par un deux-points précédé d’une espace insécable s’il pense que le texte est en français. De même, certains moteurs de wiki (comme par exemple MediaWiki) ou de forums interprètent une espace avant un signe de ponctuation double comme insécable. Cependant, les espaces insécables dans Word ne peuvent être que fines. Les mêmes remarques s’appliquent à tous les signes typographiques doubles (les règles sur les espaces comme leurs applications particulières).
Autres utilisations
- En arithmétique, le deux-points est employé comme signe de la division, en alternative à l’obélus « ÷ » et à la barre oblique « / ».
- Le deux-points sert également à séparer l'heure, les minutes et les secondes dans certaines notations (notamment celle spécifiée par la norme ISO 8601).
- Dans les émoticônes, les deux-points représentent les yeux.
- Dans l’orthographe grebo au Libéria, le deux-points est utilisé avant une syllabe pour indiquer un ton bas. Le caractère unicode ꞉ (U+A789 lettre modificative deux-points) est préféré.
Le deux-points ou double point, est un signe de ponctuation représenté par deux points, l’un au-dessus de l’autre. « Deux-points » est un mot invariable.
Grammaire
Du point de vue de la syntaxe, le deux-points s’apparente au point-virgule, et sépare deux membres de phrase souvent constitués de propositions indépendantes.
Le deux-points peut introduire diverses catégories de segments.
Une citation, dans le discours rapporté direct :
Louis XIV aurait dit : « L’État, c’est moi ! »
Une explication, une cause :
Je reste chez moi : il pleut et je suis fatigué.
Une conséquence, une synthèse :
Il pleut et je suis fatigué : je reste chez moi.
Une énumération :
Il pratique de nombreuses activités sportives : natation, planche à voile, course, tennis, etc.
On ne met pas de majuscule après un deux-points (sauf s’il introduit une citation comme dans l’exemple ci-dessus).
Typographie
En typographie française, le deux-points est précédé d’une[1] espace insécable (ou, parfois, d’une espace fine insécable ou quart de cadratin), et suivi d’une espace sécable[2],[3]. Plus généralement, la typographie française exige une espace insécable avant et une espace sécable après tout signe composé de deux éléments l’un au-dessus de l’autre. De nombreuses autres ne mettent aucune espace avant ces signes.
Exemple : une espace avant et après le deux-points.
En pratique, en particulier sur Internet, cette règle est loin d’être respectée, car l’espace insécable n’est pas accessible en une seule touche sur un clavier d’ordinateur (combinaison de deux ou trois touches selon le système d’exploitation). De nombreux rédacteurs choisissent donc de ne pas placer d’espace avant le deux-points, pour ne pas placer d’espace sécable qui risquerait de placer le deux-points en tête d’une ligne[4]. Toutefois certains logiciels d’écriture avancés corrigent cette faute pour le lecteur. Microsoft Word (versions récentes) par exemple remplace automatiquement un deux-points non précédé d’une espace ou un deux-points précédé d’une espace sécable par un deux-points précédé d’une espace insécable s’il pense que le texte est en français. De même, certains moteurs de wiki (comme par exemple MediaWiki) ou de forums interprètent une espace avant un signe de ponctuation double comme insécable. Cependant, les espaces insécables dans Word ne peuvent être que fines. Les mêmes remarques s’appliquent à tous les signes typographiques doubles (les règles sur les espaces comme leurs applications particulières).
Autres utilisations
- En arithmétique, le deux-points est employé comme signe de la division, en alternative à l’obélus « ÷ » et à la barre oblique « / ».
- Le deux-points sert également à séparer l'heure, les minutes et les secondes dans certaines notations (notamment celle spécifiée par la norme ISO 8601).
- Dans les émoticônes, les deux-points représentent les yeux.
- Dans l’orthographe grebo au Libéria, le deux-points est utilisé avant une syllabe pour indiquer un ton bas. Le caractère unicode ꞉ (U+A789 lettre modificative deux-points) est préféré.
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Re: La Ponctuation
La Barre Oblique (Slash)
C'est un séparateur destiné à montrer, de façon prompte et compacte, que plusieurs alternatives ou synthèses sont possibles.
C'est un séparateur destiné à montrer, de façon prompte et compacte, que plusieurs alternatives ou synthèses sont possibles.
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